Bastien Vivès, auteur de bandes dessinées où il étale à longueur de pages ses fantasmes pédophiles et incestueux , se retrouve invité partout, jusqu’à avoir carte blanche pour exposer ses œuvres au Festival d’Angoulême.
Archives de la catégorie : Politique
Anticapitalisme, anti-classisme et anti-xénophobie : pourquoi choisir ?
Je vois passer des articles mettant en avant des immigrés exerçant des métiers honorables, et ces articles sont relayés par des gens sincèrement progressistes, dans le but de contrer l’argument xénophobe selon lequel les immigrés viendraient en France pour profiter des aides sociales.
Macron, xénophobie et mépris de classe
Voilà Macron nous sortant qu’il n’est pas que le président des riches, la preuve, »au nom des classes populaires », il va lutter contre l’immigration… Démontrant par là-même qu’il n’est pas et ne sera jamais le président des classes populaires.
La dérive des petites cases neurologiques
Voilà qu’on nous a pondu, très sérieusement, de nouvelles petites cases de la »neurodiversité »…
Cyrulnik, le féminisme et le psychotraumatisme
Boris Cyrulnik a réussi à devenir le « psy préféré des Français » (y en a qui ne sont pas difficiles).
Soutien
Un peu partout en France, des infirmiers/ères en psychiatrie se sont mis-es en grève…
Victime, victimiser, se victimiser
Tout d’abord, on va commencer par les définitions.
Victime : est victime une personne qui subit une situation négative, une violence, un dommage. Ce n’est ni un trait de caractère ou de personnalité, ni une tare.
Victimiser : faire violence à quelqu’un, lui faire subir un préjudice.
Se victimiser, concrètement, ça ne veut rien dire.
Lettre au Monde Diplo en réaction à un article de François Ruffin
Ce texte est une lettre que j’avais adressée au Courrier des lecteurs du Monde Diplomatique. Mon courrier n’ayant pas été publié (je pense que c’est parce que je l’ai envoyé trop tard dans le mois, tout simplement), je le publie ici.
Il s’agit d’une réaction à l’article Déjouer la résignation, retour sur une victoire électorale, écrit par François Ruffin.